“David arriva au sommet où il se prosterna devant Dieu“ 2 Samuel 15.32 Rien ne va plus pour cet homme ! Il a des problèmes avec ses enfants, son fils l’a trahi misérablement ; ses amis l’ont abandonné ; il vient de perdre son travail ; il n’a plus d’avenir, et on sent bien que jusqu’à ce sommet-là, jusqu’à cet instant-là où il se prosterne, il est atteint par l’épreuve, découragé, sur le point de tout abandonner. Vous êtes dans un état similaire au sien, vous lisez ces lignes et, indéniablement, c’est vous qui êtes décrit là, alors redécouvrez l’adoration. Il faut parfois ce chemin-là pour revenir à l’essentiel, à savoir "se prosterner devant Dieu". D’ailleurs, si vous êtes attentif au texte, vous découvrez que c’est à cet instant précis que tout commence à changer, à s’inverser, à se transformer ! Il en ira de même pour votre vie, mais prosternez vous et adorez le Seigneur Jésus ! Quand l’homme se prosterne devant Dieu, Dieu ouvre des portes encore invisibles un instant plus tôt ; l’arrivée de Huschaï n’a rien à voir avec une coïncidence ; c’est lui qui va sauver David du "bon plan" de son meilleur ennemi Achitophel (2 Samuel 17.14). Dieu a un Huschaï pour votre vie aujourd’hui, prosternez-vous et adorez sans oublier de le laisser faire ! David va repartir et rencontrer la déception sur son chemin ! Après s’être prosterné on pourrait penser que cela n’arriverait pas, et pourtant ; nous sommes sur la terre et tant que nous y serons il en ira ainsi ; Mephiboscheth, à qui il a fait tant de bien, n’est pas là ! Mais parce qu’il s’est prosterné, David va surmonter la déception ! Il en ira de même pour votre vie aujourd’hui ! Ne vous inquiétez pas de ceux qui vous tournent le dos, vous lâchent, vous quittent, vous abandonnent ! Vous, prosternez-vous ! Enfin, sur le chemin de l’adoration il va trouver le terrible Schimeï qui lui jette des pierres, le maudit, l’invective ! La Bible nous présente David comme un courageux, un fort, qui en d’autres temps ne se serait pas laisser invectiver de la sorte ; est-il affaibli par son épreuve, au bord du découragement ? Non, rien de tout cela, il a un coeur d’adorateur ; il vient de se prosterner devant son Dieu et il n’a pas envie de tuer qui que ce soit ! Vous serez délivré de vos pulsions, de vos désirs de rendre coup pour coup, quand vous aurez appris à vous prosterner devant Dieu. N’ayez surtout pas peur de votre "Schimeï", vous allez le rencontrer aujourd’hui, et alors ! Vous êtes tellement plus fort que lui et ses pauvres sentiments haineux ! Vous, prosternez-vous et adorez ! Une attitude pour aujourd’hui Aujourd’hui, avant d’entamer cette journée qui s’annonce difficile, je prends le temps de me prosterner devant toi, mon Dieu ; je t’adore pour toi-même, je reconnais que tu es Dieu et qu’il n’y en pas d’autre ; je veux dire que je t’aime pour toi-même et que toi seul mérite l’adoration. Au-delà de toutes les bonnes choses que tu sais si bien me donner, je reviens à l’essentiel, toi Seigneur ! Tout le reste, je le laisse à tes pieds maintenant. Amen. |
Samuel Foucart |
mercredi 28 février 2007
mardi 20 février 2007
"L’Esprit de l’Éternel te saisira, tu prophétiseras avec eux et tu seras changé en un autre homme" 1Samuel 10.6 Voilà une très grande vérité qu’il vous appartient de redécouvrir : Dieu change le coeur des gens ! Il est même le seul capable de faire cette oeuvre-là ! C’est formidablement rassurant. Vous pouvez donc prier pour ce mari rebelle à l’Évangile, pour ce papa alcoolique, pour cette maman dépressive ou pour vos enfants indifférents ; Dieu va changer leur coeur ! Il vous appartient aussi de prier pour ceux qui ne vous aiment pas ; sans doute ont-ils tort ! Mais vous, priez pour eux, parce que Dieu va changer leur coeur ! Mais plus que tout cela, vous devez prendre conscience que Dieu veut changer votre propre coeur ! Il y a dans votre coeur tant de choses qui ne lui plaisent pas ; pas forcément des péchés, mais des attitudes de coeur, une image de la vie qui n’est pas bonne, une conception de son oeuvre qu’il veut réformer ; vous avez une image de vous-même désastreuse, vous ne vous aimez pas, et vous ne trouvez pas cela grave ! Laissez Jésus changer votre coeur de ce point de vue, et mettre en vous la bonne image, celle qu’il a de vous ! Peut-être me direz-vous : "Pasteur, Jésus a déjà changé mon coeur, c’était lors de ma conversion, je suis né de nouveau !" Super ! Quelle expérience remarquable et indispensable. Pourtant c’est encore son désir de changer votre coeur aujourd’hui, maintenant, dans le cours de cette journée. Vous êtes concerné par cette grande vérité, et il vous appartient de donner accès à l’oeuvre de Dieu par son bon Esprit dans votre vie ! Voudriez-vous prendre conscience que Dieu veut changer votre coeur, voudriez-vous admettre que votre coeur a besoin de changer, et que c’est encore lui, Jésus, qui fait cette oeuvre ? Dieu change le coeur des hommes, et il veut changer votre coeur, y mettre des choses nouvelles, des pensées que vous n’avez encore jamais eues ; il veut faire de votre coeur un coeur d’adorateur ! Le laisserez-vous faire ? Une prière pour aujourd’hui Jésus, change le coeur des autres, c’est ma prière ! Mais je refuse que cette prière me fasse occulter ce qu’est ton oeuvre dans ma vie ! Jésus, change mon coeur ! Transforme-le ! Je te donne les clefs de ma vie, je t’ouvre mon coeur, je n’ai pas peur de toi, ni de ton oeuvre en moi ; viens et change mon coeur ! Amen |
Samuel Foucart |
jeudi 15 février 2007
Une couronne de vie
"Ne crains pas ce que tu vas souffrir. Voici que le diable va jeter quelques uns d’entre vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu’à la mort, et je te donnerai la couronne de vie" Apocalypse 2.10 Il est naturel de se concentrer sur des choses et des récompenses tangibles, ce qui peut être vu, ressenti et touché. Dieu promet des récompenses dans cette vie et nous dit que nous récoltons ce que nous semons. Mais la Bible relie également la "couronne de vie" avec le fait d’être "fidèle jusqu’à la mort". Pour comprendre la perspective de Dieu, nous avons besoin de nous rappeler qu’il est au delà du temps. Il regarde à nos vies depuis l’éternité et veut que nous comprenions que ses récompenses sont bien au delà de notre vision d’un temps linéaire. Dans sa perspective, même la douleur, la souffrance et la mort ont un rôle à jouer pour nous aider à nous perfectionner et nous préparer à gouverner et à régner. La clef de la récompense dans son royaume, c’est être "fidèle jusqu’à la mort". Cela signifie que nous devons être fidèles à travers tous les moments de nos vies. Nous devons être fidèles sans tenir compte de la réaction d’autres personnes sur ce que nous disons ou faisons, quoi que nous traversions, ou quel que soit le prix à payer. Notre modèle est Jésus, que Dieu a honoré parce qu’il "s’est dépouillé lui-même, en prenant la condition d’esclave" et s’est "humilié lui-même, devenant obéissant jusqu’à la mort, la mort sur la croix" (Philippiens 2.7-10). Désirez-vous une couronne de vie ? Voulez-vous recevoir toutes les bénédictions que Dieu a en réserve pour vous ? Alors vous devez être fidèle. Fidèle dans votre temps, vos talents, et vos trésors. Fidèle en étant persévérant pour le servir en toute occasion. Fidèle pour le placer en premier dans votre vie. Une prière pour aujourd'hui Père, je veux être un serviteur fidèle dans tout ce que je fais. Je te consacre ma vie. Je recherche ton royaume et ta justice. Utilise-moi pour avoir de l’influence sur les âmes pour l’Évangile. Au nom de Jésus. Amen. |
John Roos |
mercredi 14 février 2007
2 Pierre 3 v 9
lundi 12 février 2007
Moïse:le fabuleux destin d’un homme exceptionnel
L’homme qui a permis aux Israélites d’échapper à leur situation d’esclaves en Egypte, qui a fait d’eux une nation et les a conduits aux portes du pays promis à leurs ancêtres a une histoire assez extraordinaire. Il fait partie des personnages les plus importants de la Bible, puisque la tradition juive lui attribue la rédaction des cinq premiers livres, nommés la Tora.
Une fille de Pharaon trouve le panier
Elle lui donne le nom de Moïse
Une enfance mouvementée
Alors que les hébreux souffrent de leurs condition d’esclaves condamnés à construire les villes des Egyptiens, un petit garçon naît dans la famille d’un descendant de Lévi, un des douze fils de l’ancêtre Jacob. Sa situation n’est pas très enviable. Le Pharaon, inquiet de voir proliférer les Hébreux dans son pays, vient de décréter que tous les enfants mâles doivent être tués à la naissance. La mère de Moïse ne se résigne pas à voir mourir son enfant et le cache dans un panier en osier enduit de poix qu’elle dépose sur le fleuve Nil. Une fille de Pharaon trouve le panier, s’émerveille devant l’enfant, et recrute même la mère du petit garçon pour l’allaiter. Elle lui donne le nom de Moïse, ce qui signifie « sauvé (des eaux) ». La princesse fait donner à Moïse l’éducation raffinée des princes de la cour de Pharaon.
Une vocation exemplaire
La vie de Moïse bascule le jour où, voyant un contremaître égyptien qui maltraite un esclave hébreu, il se jette sur lui pour l’arrêter et le blesse mortellement. Réalisant la gravité de son acte, Moïse est obligé de s’enfuir et va se cacher dans le désert de Madian où vivent des tribus nomades. Là, il fait la connaissance de Séphora, la fille du prêtre et berger Jéthro et il l’épouse.
Moïse voyant un contremaître égyptien qui maltraite un esclave hébreu
Le buisson ardent
Quelques années plus tard, alors qu’il a déjà des enfants, Moïse garde les troupeaux de son beau-père non loin du mont Sinaï. Là, il est attiré par un phénomène étrange : un buisson semble en feu, mais ne se consume pas. Du milieu du buisson, la voix de Dieu se fait entendre et demande à Moïse d’être le libérateur de son peuple. Moïse doute de ses compétences, mais près quelques hésitations il finit par accepter. Au cours de cet épisode, Dieu révèle à Moïse son nom bien étrange : « Je suis ».
A quelle date Moïse a-t-il vécu ?
La tradition juive, reprise ensuite par la tradition chrétienne, a longtemps attribué à Moïse la rédaction des cinq livres de la Tora.
Aujourd’hui, on considère que même s’ils contiennent des documents anciens, ces livres ont été mis en forme plusieurs siècles après l’époque où Moïse aurait vécu. L’exode lui-même est difficile à dater dans la mesure où aucun document extérieur à la Bible ne confirme cet événement et où la Bible elle-même ne donne pas le nom du Pharaon sous le règne duquel l’exode se serait produit. L’hypothèse la plus communément admise situe l’exode vers 1250 avant notre ère.
Moïse demande à Pharaon de libérer son peuple
Bras de fer avec Pharaon
Secondé par son frère Aaron qui s’exprime plus facilement que lui, Moïse se rend chez le roi Pharaon et lui demande de libérer ses frères hébreux. Bien entendu Pharaon n’est pas disposé à libérer une main d’œuvre qui ne coûte rien à son pays et il refuse. Par dix fois, Moïse va donc annoncer à Pharaon l’arrivée d’une catastrophe sur son pays, destinée à le faire réfléchir et à le convaincre de laisser partir les hébreux.
Mais Pharaon résiste et s’entête. La dixième des plaies est la plus terrible : la mort frappe chaque maison en Egypte et tous les premiers nés des animaux ou des enfants, dans chaque maison, périt. Pour se protéger de cette mort rampante, les hébreux ont abattu un agneau dans chaque famille et ont badigeonné un peu de sang de l’animal sur leur porte. Les juifs aujourd’hui encore commémorent cet épisode dans la fête de la Pâque (= passage), car la mort est passé à côté d’eux sans les frapper. Lorsque Pharaon prend dans ses bras le corps mort de son fils aîné, il se décide enfin à laisser partir les hébreux.
Moïse avait demandé aux hébreux de sacrifier un agneau dans chaque maison, de prendre un peu de son sang et d'en badigeonner les poteaux de leur porte d'entrée. Ce signe du sang a permis au fléau de la mort des premiers nés d'épargner les familles des hébreux. Beaucoup plus tard, les auteurs du Nouveau Testament ont interprété la mort de Jésus à la lumière de cet épisode : par son sang versé sur la croix, Jésus permet que les humains soient sauvés de la mort. Voilà pourquoi, les évangélistes le présentent comme "l'agneau de Dieu", image qui a été très souvent reprise dans l'art sacré ou dans la décoration des églises.
Les Hébreux s’élancent donc en direction de la Mer des Roseaux, cette zone marécageuse située entre l’extrémité de la Mer Rouge et la Méditerranée. Entre temps, Pharaon s’est ravisé. Il poursuit les fuyards avec ses chars de guerre. Les Hébreux sont coincés devant ce bras d’eau. Dieu demande alors à Moïse de lever son bâton et l’eau est repoussée par un fort vent qui permet aux Hébreux de passer à pied sec. Pharaon s’engage lui aussi avec ses chars de guerre, mais les roue s’embourbent. Lorsque le dernier hébreu est passé, l’eau revient à sa place et engloutit les troupes de Pharaon.
Cette libération extraordinaire confirme aux yeux des Hébreux que Dieu est avant tout un libérateur, celui qui délivre les opprimés.
Moïse conduit son peuple à travers la Mer Rouge
Moïse casse les tables de la loi devant le veau d'or
Le don de la loi et la marche dans le désert
Une fois débarrassés de leur bourreaux égyptiens, les Hébreux ont besoin de s’organiser pour devenir une véritable nation. Moïse monte alors sur le mont Sinaï où il reste 40 jours et là, il reçoit de Dieu les lois et les instructions qui guideront la vie sociale et religieuse du peuple d’Israël. On trouve parmi ces lois des consignes pour rendre le culte à Dieu et lui apporter des offrandes, des règles sur le mariage ou le divorce, des instructions pour construire le sanctuaire mobile où les Israélites pourront s’approcher de Dieu, des lois sur la propriété, des consignes concernant l’alimentation ou la morale sexuelle. La vie des Israélites, dans tous ses aspects, publique ou privée, est ainsi placée sous le regard de Dieu. Les fameux dix commandement, ou dix paroles constituent une sorte de résumé de ces lois. Ils insistent sur le lien étroit entre le culte rendu à Dieu et le respect du prochain.
Une des consignes principales données au peuple d’Israël est de servir le Dieu qui l’a libéré de l’esclavage de façon exclusive et de ne pas vouer un culte à d’autres dieux que lui. Mais Israël aura bien du mal à respecter cette consigne. Alors que Moïse est encore sur la montagne du Sinaï, le peuple demande à Aaron de lui fabriquer la statue d’un veau en or pour pouvoir l’adorer. C’est le début d’un long combat entre les exigences formulées par Dieu et par les hommes qu’il choisit comme porte-parole et le peuple d’Israël qui trouve plus facile de rendre un culte à des divinités que l’on représente à travers des statues.
Deux ans après la sortie d’Égypte, les Hébreux sont aux portes du pays de Canaan, prêts à y entrer pour s’y installer. Mais le pays n’est pas vide, des Cananéens y vivent. Comment vont-ils réagir ? Moïse envoie douze espions dans le pays pour vérifier si le pays pourra les accueillir. Le compte rendu de mission des ces espions démoralise le peuple qui se met à regretter d’avoir quitté l’Égypte. Moïse doit alors faire face à une contestation et à des récriminations qui viennent régulièrement empoisonner ses relations avec le peuple d’Israël. Pour punir le peuple de son manque de confiance, Dieu le condamne à rester 40 ans dans le désert, jusqu’à ce que tous les gens qui sont sortis d’Egypte soient morts.
Moïse lui-même accompagne son peuple durant toutes ces années, mais ne connaîtra pas le bonheur d’enter dans le pays promis par Dieu à ses ancêtres. Il meurt aux portes du pays de Canaan et c’est Josué qui conduira le peuple pour entrer en Canaan.
L’œuvre de Moïse et sa signification
Moïse a été un chef exceptionnel si l’on considère qu’il a dû, toute sa vie, faire face à une forte opposition : d’abord celle de Pharaon, puis celle des Hébreux. Sa foi inébranlable dans le Dieu de ses ancêtres est le secret de sa réussite. Il a réussi à donner aux croyants de tous les temps une direction claire pour conduire leur vie. La Bible dit que Moïse parlait avec Dieu directement et que Moïse rapportait ensuite au peuple les paroles reçues de Dieu. Lorsqu’il descendait de la montagne, le visage de Moïse rayonnait de la présence de Dieu. C’est pour cette raison que l’on représente quelquefois Moïse avec des rayons sur la tête ou même des cornes.
Libérateur et conducteur du peuple d’Israël pendant plus de 40 ans, Moïse est le modèle du chef qui conforme ses décisions à la volonté de Dieu.
Médiateur entre Dieu et son peuple, il est le modèle du prophète que Dieu utilise pour faire connaître sa volonté.
Fondateur de la religion d’Israël, il passe avec Aaron son frère pour un modèle de prêtre, lui qui a si souvent prié pour son peuple et obtenu le pardon de Dieu.
Que votre lumière luise !
Votre père Céleste est "Lumière" et "Père des Lumières". Votre Seigneur est la lumière du monde. Vous êtes né de la "Parole/Lumière" et vous êtes, vous aussi, la lumière du monde.
Voici, les ténèbres couvrent la terre, et l’obscurité les peuples. Quand la terre était informe et vide et que les ténèbres couvraient la surface de l’abîme, le Père a parlé. Sa parole a créé la lumière qui a influencé les ténèbres et ces dernières se sont retirées au loin.
Jésus connaissait parfaitement son "identité/Lumière". Il en était conscient et partout où il allait, il la manifestait. Il éclairait de sa lumière son environnement.
Chaque lumière dans ce monde influence son environnement :
- La lumière du soleil éclaire la terre
- L'électricité éclaire les maisons et les rues
- Les rayons X éclairent et permettent de voir au-delà de la vue humaine.
Ainsi, vous voyez : "chaque lumière a son domaine d’intervention." Et vous ! Quel est votre domaine d’influence ?
Vous êtes la lumière du monde et le monde attend que vous l’éclairiez de votre lumière. Alors, levez-vous et brillez :
- Vous êtes "lumière/Amour" : levez-vous pour éclairer ceux et celles qui sont dans les ténèbres du rejet et de la haine
- Vous êtes "lumière/Foi" : brillez dans les abîmes de l’incrédulité
- Vous êtes "lumière/Paix" : remplissez de votre paix les coeurs vides et angoissés
- Vous êtes "lumière/Joie" : rayonnez et communiquez la joie aux âmes affligées et endeuillées
- Vous êtes "lumière/pureté" : brillez et brisez le joug de l’impureté placé sur le cou de la jeunesse
Une action pour aujourd’hui
Croyez et confessez que vous êtes la lumière du monde. Décidez d’éclairer de votre lumière celui ou celle que le Seigneur mettra sur votre chemin aujourd’hui.
Mamadou Karambiri
dimanche 11 février 2007
Trouvez ce lieu de bénédictions !
Dieu a en réserve pour vous une place de choix, là où vous serez le plus heureux et le plus épanoui, faisant l’expérience de sa bénédiction dans votre santé, vos émotions, vos relations et vos finances.
Un bon exemple de cela se trouve dans 1 Rois 17.3, lorsque Dieu parla au prophète Élie : "Pars d'ici, dirige-toi vers l'orient, et cache-toi près du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain. Tu boiras de l'eau du torrent, et j'ai ordonné aux corbeaux de te nourrir là." Élie obéit à Dieu et partit, puis les corbeaux le nourrirent.
Si Élie avait décidé de ne pas obéir à Dieu, mais de faire les choses à sa manière, il n’aurait pas été dans le lieu où il allait recevoir les bénédictions divines. Vous êtes béni lorsque vous êtes pleinement convaincu que Dieu désire pourvoir à tous vos besoins, et lorsque vous décidez de lui obéir.
Une prière pour aujourd’hui
Père, je veux te remercier de m’avoir donné un lieu où je peux être épanoui et béni en te servant. Donne-moi la sagesse et la patience de savoir où me diriger afin de trouver cette place de choix où tu envoies ta bénédiction. Au nom de Jésus. Amen.
Joël Osteen
Trouvez ce lieu de bénédictions !
Dieu a en réserve pour vous une place de choix, là où vous serez le plus heureux et le plus épanoui, faisant l’expérience de sa bénédiction dans votre santé, vos émotions, vos relations et vos finances.
Un bon exemple de cela se trouve dans 1 Rois 17.3, lorsque Dieu parla au prophète Élie : "Pars d'ici, dirige-toi vers l'orient, et cache-toi près du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain. Tu boiras de l'eau du torrent, et j'ai ordonné aux corbeaux de te nourrir là." Élie obéit à Dieu et partit, puis les corbeaux le nourrirent.
Si Élie avait décidé de ne pas obéir à Dieu, mais de faire les choses à sa manière, il n’aurait pas été dans le lieu où il allait recevoir les bénédictions divines. Vous êtes béni lorsque vous êtes pleinement convaincu que Dieu désire pourvoir à tous vos besoins, et lorsque vous décidez de lui obéir.
Une prière pour aujourd’hui
Père, je veux te remercier de m’avoir donné un lieu où je peux être épanoui et béni en te servant. Donne-moi la sagesse et la patience de savoir où me diriger afin de trouver cette place de choix où tu envoies ta bénédiction. Au nom de Jésus. Amen.
Joël Osteen
vendredi 9 février 2007
Trois types de personnes que Dieu enverra vers vous
"L’homme s’affine au contact de son prochain tout comme le fer se polit par le fer" Proverbes 27.17 Semeur
On ne le dira jamais assez : la qualité de vos fréquentations vous fera réussir ou échouer dans la vie.
Avez-vous déjà entendu ce dicton qui dit : "Montre-moi tes amis et je te dirai qui tu es" ? Le Saint-Esprit le résume en ces termes : "Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes moeurs" 1Corinthiens 15.33.
Dans la vie, vous ne réussissez pas seul. Vous n’échouez pas seul non plus. Soit vous entraînez les autres avec vous, soit c’est vous qui êtes entraîné sur le chemin de la réussite ou de l’échec. Dieu utilise toujours des membres de votre entourage pour vous propulser vers votre destinée.
Vous avez besoin des autres pour devenir meilleur. Dieu façonne votre caractère, votre patience, votre mentalité et votre consécration à travers vos fréquentations. Il utilise les faiblesses des uns ainsi que les forces des autres pour vous instruire. Lorsque certains vous blessent, cela vous donne l’occasion de manifester la miséricorde de Dieu. Quand d’autres vous guérissent, vous avez alors l’opportunité de réaliser que Dieu utilise les hommes pour vous faire du bien.
Sur le chemin de votre destinée, vous rencontrerez trois catégories de personnes que Dieu enverra vers vous dans le but de vous rendre meilleur : celles qui sont au-dessus de vous, celles qui sont au même niveau que vous, et enfin celles qui sont en dessous de vous. Il ne s’agit pas d’êtres supérieurs ou inférieurs à vous. Simplement, il y a toujours quelqu’un de plus expérimenté, de plus mature, ou de plus sage que vous. Cela est aussi vrai dans l’autre sens.
Alors comment vous comporter en présence des représentants de chaque catégorie ?
- Ceux qui sont au dessus de vous. Apprenez d’eux, faites en des mentors dans les domaines où vous devez progresser. N’essayez pas de les impressionner avec votre CV. Lorsque vous êtes avec eux, taisez-vous et posez simplement des questions pour comprendre ce qu’ils ont compris.
- Ceux qui sont au même niveau que vous. Motivez-vous et encouragez-vous mutuellement.
- Ceux qui sont en dessous de vous. Inspirez-les et influencez-les positivement afin qu’ils aient envie de vous imiter, comme vous essayez vous-même d’imiter Christ.
Réalisez une chose : votre capacité à discerner et à bien classifier la catégorie dans laquelle se trouvent les personnes qui vous entourent accélérera la manifestation de votre destinée.
Une prière pour aujourd’hui
Seigneur, accorde-moi la grâce de savoir discerner et valoriser les personnes que tu envoies vers moi afin de me rendre utile entre tes mains, et meilleur dans ton service. Au nom de Jésus, amen !
Yvan Castanou
halte à la rumeur
"Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, suivant ce que nous ont transmis ceux qui ont été des témoins oculaires dès le commencement et sont devenus des ministres de la parole, il m'a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d'une manière suivie." Luc 1.1-4. Luc veut transmettre à un homme du nom de Théophile la biographie de Jésus. Cependant il ne désire pas lui communiquer une rumeur basée sur des "on dit". Aussi, il effectue des recherches exactes et s'informe auprès des sources premières. Son but est de répandre un fait établi avec des témoins oculaires et non de répandre une histoire floue et sans fondement. Ses sources documentaires remontent à l'origine, aux apôtres eux-mêmes, et certainement à la multitude qui suivait Jésus. C'est seulement après cela qu'il recompose de manière minutieuse, l’histoire de façon suivie. Qu'en est-il de vous lorsque vous parlez de quelqu‘un ? Parlez-vous après avoir consulté des sources premières ? Ou parlez-vous dans le vague ? Si vous ne parlez pas d’une manière précise vous ferez courir une rumeur. Lisez ma définition de la rumeur : "Elle est composée de vérité, de semi-vérité et de mensonge". Comprenez cela : "même s'il y a de la vérité dans votre propos, le moindre mensonge gâte tout". C'est pourquoi refusez la rumeur. Lorsqu'une personne vient vous voir pour parler sur quelqu'un, faites-lui passer le test des trois passoires : - Premièrement, assurez-vous que son histoire est vraie et qu'elle n'est pas basée sur une rumeur. - Deuxièmement, demandez-lui si son propos est bien dans la charité recommandée par l'apôtre Paul. - Troisièmement, demandez-lui quelle est l’utilité de son récit. Si rien n’est charitable ni certain, alors fermez vos oreilles. Car "Les paroles du rapporteur sont comme des friandises, elles descendent jusqu’au fond des entrailles." (Proverbes 18.8). Une fois cette friandise au fond du coeur, attention aux dégâts ; ils peuvent malheureusement être considérables. Soyez comme Luc et parlez avec véracité. Une prière pour aujourd'hui Seigneur, mets un garde-fou sur mes lèvres et donne-moi la force de refuser la rumeur. Amen. |
Patrice Martorano |
jeudi 8 février 2007
Relever le Défi
"Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les empêchez pas ; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent" Luc 18.16 85 % des chrétiens dans le monde ont accepté Jésus comme leur sauveur avant l’âge de quatorze ans. En Afrique, les enfants de moins de quinze ans représentent 44 % de la population, soit trois cent vingt-deux millions d’enfants. En Indonésie, 40 % de la population a moins de quinze ans, soit plus de quatre-vingts millions d’enfants. En Inde, 37 % de la population a moins de quinze ans, soit plus de trois cent cinquante millions d’enfants. Il naît, en Inde, cinq enfants par minute. En Roumanie, plus de quarante mille enfants sont livrés à eux-mêmes. Un des ministères les plus florissants aux USA est celui de "Metro Ministries International" dont le but est d’évangéliser les enfants des ghettos de New York. Ce service pour Christ est né de la vision de Bill Wilson. Lorsqu’il était enfant, Bill a été abandonné par sa mère dans la rue. Il est resté trois jours seul, dans la rue, à attendre que sa mère vienne le récupérer... Un homme, un chrétien, membre d’une église du quartier a fini par le remarquer et a décidé de le prendre sous son aile. Il a vu cette situation comme une mission que Dieu lui confiait. Il a recueilli Bill, a pris soin de lui en lui donnant un toit, une famille, une éducation. Un jour, il lui a offert de participer à un camp chrétien organisé pour des enfants. Bill y est allé et c’est dans ce cadre qu’il s'est converti. Plus tard, on lui a proposé de s’inscrire à l’école biblique, et comme il n’avait pas de raison de dire non, il a accepté. Le fardeau pour les âmes perdues a grandi en lui et plus particulièrement le travail à faire parmi les enfants. Aujourd’hui, Bill Wilson est à la tête de la plus grande école du dimanche des USA (et sans doute du monde) : plus de vingt mille enfants ! Chaque samedi il les réunit dans un entrepôt loué pour l’occasion et leur apporte la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ en utilisant des méthodes créatives et récréatives. Il faut que vous sachiez qu'il est impossible d’approcher ces enfants avec des méthodes "classiques" d’évangélisation ! Ces gamins ont un arrière-plan très lourd ; crack, cocaïne, alcool, prostitution, inceste, viol, violence, etc. sont leur quotidien. Il faut surtout que les enfants passent une heure inoubliable. Le travail de Bill et de toute son équipe est tel qu’aujourd’hui plus de cinq cents villes américaines ont déjà adopté ce concept. Le Sénateur John Aschroft a déclaré : "La vision de l’église Métro et de ses "Écoles du Dimanche Mobiles" représentent un témoignage fascinant de la main guérissante de Dieu dans un milieu désespéré. La Bonne Nouvelle, c’est que ce ministère se multiplie avec succès, ville après ville, aux États-Unis". Ne voyez-vous pas là un défi à relever pour l’Église de Jésus-Christ ? Je crois bien que oui ! Une prière pour aujourd'hui Seigneur, ouvre mes yeux sur les conditions de ces enfants, qui vivent de telles difficultés, chaque jour. Montre-moi, comment je peux agir concrètement pour être une bénédiction pour eux, comme cet homme l'a fait pour Bill Wilson. |
Franck Alexandre |
Psaume1;1
qui ne s'arrête pas sur le cheminde ceux qui se détournent de Dieu,
et qui ne s'assied pas avec ceux qui se moquent de tout
lundi 5 février 2007
chenille ou papillon
Quel choc pour Nicodème ! Religieux d'une éminente piété, Jésus lui apprend qu’il existe deux naissances et qu’il lui faut naître une deuxième fois, s’il veut voir le royaume de Dieu. Car personne ne peut connaître, par lui-même, ce qui est de l’Esprit (1Corinthiens 2.11, 14 ; 15.50)...
La deuxième naissance est le miracle d’une métamorphose, à l'instar de la chenille qui rampe à terre mais se transforme, un jour, en un papillon libre dans le ciel. Naître de nouveau c'est recevoir la vie d'en haut, à la conversion. Cette naissance divine s'opère quand le Saint-Esprit vient habiter en tout homme qui se repent et croit en Jésus (1Corinthiens 3.16). Elle figure dans les registres du livre de vie (Apocalypse 13.8 ; 17.8).
Vos amis ne tardent pas à remarquer les fruits de cette transformation, car ils sont visibles. Une naissance, ça fait du bruit, non ? Et surtout, il y a cette métamorphose opérée en vous, votre nouvelle manière de vivre : le désir brûlant de prier, lire la Bible, aller aux réunions de l'Église, témoigner partout ; la joie rayonnante qui pratique la générosité ; la simplicité de coeur, l'amour débordant, même pour ceux qui vous font du mal...
C’est que votre nouvelle nature, désormais attirée par les choses d'en haut (Colossiens 3.1-2), vous mène à plaire à Dieu, en toutes choses. Elle rend joyeuse votre marche, en nouveauté de vie (Romains 6.4 ; 8.5). Le Commandement, autrefois pénible, vous conduit "à posséder votre corps dans la sainteté et l’honnêteté" (1Thessaloniciens 4.4), à "revêtir l'homme nouveau" (Colossiens 3.10), à faire "disparaître le vieux levain" (1Corinthiens 5.7-8), à entrer dans la vie de l'Esprit, constante et progressive...
Une prière pour aujourd'hui
Seigneur Jésus, tu es venu vers moi, alors que je rampais comme une chenille. Tu as vu mes larmes, tu m’as pardonné et m’as donné une nouvelle vie, un nouvel essor. Que je puisse t’aimer de tout mon coeur, c’est aussi un miracle. Je t’en remercie, amen.
1 Jean 3:14
Vous étiez le préféré et vous souffrez !
Vous étiez le préféré et vous en avez subi les conséquences. L’histoire de Joseph, sur un plan strictement humain, s’explique en grande partie par ce verset de la Genèse. C’est la clef qui dévoile bien des souffrances.
Comme souvent, parce que vous étiez le préféré à la maison, vous avez fini par croire que tout vous était permis ; que vous pouviez vous conduire avec arrogance, avec mépris à l’égard des autres, de votre entourage, et qu’il n’y aurait jamais aucune conséquence. Quelle folie !
Il y a dans la société, dans les églises, au travail et plus simplement encore dans la famille, toutes sortes de personnes qui ont toujours été "gâtées", privilégiées par rapport aux autres, préférées, et qui se conduisent encore ainsi étant devenues adultes.
Vous êtes de celles-là et vous souffrez de ce que les autres se moquent de vous, de ce que vous agacez votre prochain, de ce que vous n’avez que si peu d’amis, ni même de personnes qui s’intéressent à vous. Mais tout cela est normal ! C’est votre attitude d’enfant gâté qui provoque ces réactions !
Vous ignorez combien "les frères de Joseph" ont souffert de la préférence que leur père accordait à leur jeune frère ; mais vous pouvez vérifier facilement avec votre Bible, à quel degré de souffrance les "petits préférés" sont conduits !
Il est injuste que vous continuiez à souffrir de la sorte ! Le Dieu de la Bible vous aime tel que vous êtes, mais ne vous aimera jamais comme étant son "enfant gâté" ; il vous traitera de la même manière que tous les autres et c’est déjà tellement formidable ! Sortez de votre complexe de supériorité, abandonnez votre susceptibilité, délaissez une fois pour toutes votre petite arrogance d’enfant gâté et vivez libre !
Une prière pour aujourd’hui
Seigneur Jésus, je veux courageusement et honnêtement reconnaître cette parole comme vraie pour ma vie ; je ne sais pas pour les autres, mais moi je suis cette personne-là et je veux être délivré de ma misère et de tout ce qui perturbe, détruit et bloque mes relations avec toi et avec les autres. Viens à mon aide, Seigneur. Amen !
Samuel Foucart